Valeur ? Liberté !

Pour mon premier article de l’année 2015, j’avais envisagé un sujet léger, empreint d’optimisme et de bonnes résolutions.

L’actualité a bouleversé les Français, et modifié mes projets.

Toutefois, en coach résolument positive, j’essaie de trouver dans cette tragédie ce qu’il y a de grandiose, faute de positif.

Et j’ai trouvé : le rassemblement spontané, la solidarité instantanée, la communion dans la douleur et ce message puissant, partagé par les lecteurs et les détracteurs de Charlie, « Je suis Charlie ».

Oui, je suis Charlie, nous sommes tous Charlie, car comme eux, nous partageons une valeur commune : le goût de la liberté. Une valeur universelle certes, mais qui caractérise surtout notre pays. Liberté inscrite sur le fronton de tous les édifices publics, liberté chérie qui renforce la solidarité entre nous, liberté, pierre angulaire de notre société. Liberté offerte à l’Amérique avec La Fayette et plus tard avec une statue. Cette liberté qui éclaire le monde est avant tout la nôtre.

Liberté de penser, d’écrire, de s’exprimer, de ressentir, de vivre selon son propre et unique choix.

Comme un individu doit savoir ce qui fait sens pour lui, ce qui le caractérise et le distingue de ces semblables, notre pays a enfin retrouvé ce qui fait sa fierté d’être ce qu’il est, ce qui fait sa différence et son unicité.

Hier, il m’est arrivé d’avoir honte d’être française (honte à moi !), aujourd’hui je suis plus fière que jamais. Je vous invite à éprouver ce sentiment de fierté qui renforce la confiance en l’avenir, la confiance en l’autre, la confiance en soi.

Que 2015 soit donc l’année de la liberté et de la fierté retrouvée.

Coaching bonheur

En cette fin d’année, j’ai eu envie de vous offrir un des plus beaux cadeaux qu’il soit : être heureux.
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Une mine d’or pour être heureux

Oui, je peux vous l’offrir, car être heureux n’est pas seulement lié à une hérédité, une aptitude, un caractère, un tempérament.

Non, être heureux, ainsi que le révèle Sonja Lyubomirsky dans son livre « comment être heureux », tient pour 40% à ce que nous faisons, vivons chaque jour.

De nos actions découlent des pensées et des sentiments.

Longtemps, nous avons pensé que nous agissions en fonction de nos sentiments, et qu’il fallait d’abord intervenir sur les pensées pour modifier les émotions. Aujourd’hui, toutes les études prouvent qu’en agissant autrement, je modifie peu à peu mes pensées et donc mes émotions, sentiments. C’est sur ce principe fondamental que repose toute la réussite d’un coaching.

Bref, si je ne fais rien parce que je suis déprimé, je peux :

  1. soit attendre d’aller mieux pour commencer à faire quelque chose,
  2. soit faire quelque chose pour commencer à aller mieux !

Je vous propose d’opter pour la deuxième solution qui donne des résultats rapides et encourageants.

De nouvelles habitudes, quelques rituels bien choisis, et vécus en pleine conscience, suffisent à augmenter de quelques pourcents notre capital bonheur.

En cliquant sur le lien en bas de page, vous découvrirez une petite liste de plaisirs malins, afin de pratiquer le bonheur comme un sport ! En rose, les activités gratuites, en vert les activités payantes : vous pouvez découper les cases et leur trouver une jolie boîte dans laquelle vous n’aurez plus qu’à piocher, seul(e) ou en famille.

Les bienfaits des activités listées sont scientifiquement prouvés par Sonja Lyubomirsky et d’autres chercheurs-trouveurs de bonheur, vous pouvez donc en abuser sans modération et sans inquiétude.

Profitez de ce cadeau et des fêtes de fin d’année pour augmenter considérablement votre félicité.

De mon côté, je vous souhaite de très joyeuses fêtes !

La liste est par ici : Quelques activités conseillées pour pratiquer le bonheur comme un sport (2)

 

 

 

Confiance, peurs et coaching ?

Existe-t-il être plus confiant que le bébé qui vient de naître ? Il est dépendant de tout, en tout, pour tout. Et pourtant, il ne doute pas, il ne redoute pas.

Pourquoi ?

Parce qu’il sait que nous sommes là pour lui, que quelqu’un va s’occuper de lui, et dans la majorité des cas, il a raison.

Et nous ? Qu’avons-nous fait de cette confiance inébranlable en la vie, en l’avenir ?

Vivre sans confiance, c’est respirer entrecoupé d’apnées régulières, c’est vivre et respirer à moitié. Le souffle de la vie est pétri de la confiance, que, si je donne le meilleur de moi-même, si je pose des actions cohérentes, alors la vie pourvoira au reste.

La confiance (étymologiquement « croire ensemble ») ne veut pas dire crédulité.

La crédulité est l’œuvre d’un seul face à d’autres, par exemple la victime d’une escroquerie, face à un réseau.

En revanche, la confiance, signifie croire ensemble que la vie est belle, qu’il y a d’avantage de personnes bonnes, généreuses, honnêtes et altruistes que le contraire. La confiance est un a priori positif envers l’existence.

Le miracle ? La vie nous donne toujours raison : si je crois en elle, si j’ai confiance en elle, elle me donnera le meilleur.

En revanche, si je me méfie de la vie, si je doute de tout, je vivrai dans la trahison, la mesquinerie, la parcimonie.

raven 98244 1280 150x150 - Confiance, peurs et coaching ?

La confiance insolente du corbeau

A nous donc de choisir : Soit vivre comme l’écureuil, à faire des réserves oubliées et donc perdues pour lui, soit comme le corbeau, sans cellier, ni grenier et qui pourtant ne meurt pas de faim…

Le développement personnel et le coaching en particulier, effacent les peurs, restaurent la confiance : confiance en soi, en l’avenir, en l’autre, dont nous avons extrêmement besoin au quotidien !

 

Les bienfaits du développement personnel !

Le Figaro Santé a interviewé Christophe André, psychiatre et psychothérapeute, expert en estime et confiance en soi.

Ce dernier reconnait les bienfaits de la complémentarité entre une démarche de soin classique (thérapies), et les professionnels du développement personnel (coachs certifiés, formateurs spécialisés en développement personnel)

Je vous invite à prendre connaissance de cet article en cliquant sur le lien suivant : http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/11/21/23079-developpement-personnel-aide-ceux-qui-ne-vont-pas-trop-mal-aller-mieux?a1=DOL-3859124&a3=77-18931270&a4=DOL-3859124-77-18931270#main-content

Bonne lecture !

Cessons de courir après le temps !

Cessons de courir après car il est plus rapide que nous !

Hier, après avoir déposé ma fille à l’école, j’ai été prise en chasse par mon fantôme.

horloge 200x300 - Cessons de courir après le temps !

La gestion du temps est devenue cruciale

Je connaissais l’expression être rattrapé par ses démons, mais pas dépassé par ses fantômes !

Car la jeune femme qui, hier, m’a « collée » de très, très près en voiture, puis doublée inconsidérément… c’était moi.

Moi, avant.

Toujours pressée, toujours à vouloir « gratter » quelques minutes, quelques secondes, quelques centièmes de secondes…

Et puis j’ai compris.

L’important n’est pas le temps que nous prenons pour faire les choses, l’important est ce que nous ressentons en les faisant, dans quel état d’esprit nous le faisons.

Lorsque j’expédie un repas en pensant à ce j’ai à faire ensuite, lorsque je regarde ma montre quand quelqu’un me parle, je ne suis ni en train de manger, ni en train de communiquer.

Si mon obsession est de toujours en faire plus, même si j’ai déjà fait beaucoup, je serai toujours insatisfait.

Quand je bâcle tout ce que j’entreprends, pour vite faire autre chose, je ne suis jamais vraiment à ce que je fais.

Je suis un peu dans le présent, un peu dans un futur vague et hypothétique, celui que j’imagine, celui que je redoute, celui que j’espère.

Celui qui, au final, ne sera peut-être jamais.

Car, en réalité, le futur reste un conditionnel, il est toujours suspendu à la condition « que je sois encore là pour faire ce que je me suis engagé à faire ».

Vivre l’instant présent, encore et toujours lui !

Et surtout, le vivre au bon rythme, au bon tempo.

Savoir dire, ou se dire « c’est assez », savoir prendre le temps nécessaire à tout, m’offre l’opportunité d’en faire moins, sans doute (quoique !), mais tellement mieux.

Sur la piste de danse de la vie, pensons également à alterner rocks endiablés et slows langoureux  !

Cessons de confondre profit et rentabilité : Si je désire profiter au mieux de ma vie, je dois au contraire renoncer à la rentabiliser…

Qui suis-je ?

 

« Connais-toi toi-même » prônait la philosophie socratique sur le fronton du temple de Delphes.

C’est-à-dire « prends conscience de ta mesure, prends conscience de tes atouts comme de tes limites. »

C’est sur ce pilier que l’individu se construit.

point dinterrogation 150x150 - Qui suis-je ?

Qui suis-je ?

  • Comment poser des limites si j’ignore les miennes ?
  • Comment trouver ma place si j’ignore mes contours ?
  • Comment m’améliorer si j’ignore mes défauts ?
  • Comment me surpasser si j’ignore mes qualités ?

La connaissance de soi est le fondement même d’une vie.

Étrangement, nous passons davantage de temps à nous intéresser aux autres plutôt qu’à nous-même. Et surtout, surtout, nous commettons l’erreur funeste de croire que sous prétexte que nous nous fréquentons depuis un certain temps, nous nous connaissons bien.

En réalité, c’est tout le contraire qui se joue : notre promiscuité quotidienne avec nous même, nous éloigne davantage de notre soif de découverte. Ma curiosité naturelle est en sommeil, engourdie par le fléau de l’habitude.

Je vous invite à vous réveiller, à secouer votre curiosité, à vous lancer dans cette formidable aventure qu’est la découverte de soi. C’est le programme que je vous propose de suivre par le biais d’un coaching ou d’une formation sur le thème de l’estime de soi.

Quelque chose vous pèse ?

balance 154516 640 300x194 - Quelque chose vous pèse ?Chaque matin au réveil, le cerveau effectue une pesée virtuelle.

Il met dans la balance « ce qui m’attend de bien pour la journée » ET « ce qui m’attend de moins bien, de moins agréable ».

Si l’avantage va au second plateau, vous vous lèverez à reculons, avec le désir secret de retourner au lit rapidement, voire de rester au lit !

A l’inverse, si la pesée est favorable au plateau « bonnes choses », vous vous lèverez avant l’heure, débordant d’enthousiasme, et en pleine forme !

Pour vous aider à trouver du bon dans toutes situations, je vous offre cet outil de pesée très simple, afin de faire le point sur ce que vous vivez vraiment. Un moyen également de trouver un peu de positif à ce que vous vivez. Le développement personnel et le coaching en particulier nous poussent à adopter cette nouvelle façon de voir le monde. Admettre enfin que le verre est à la fois à moitié plein ET à moitié vide ! Une façon de voir que je n’abandonnerais pour rien au monde !

Si vous voulez en faire autant, cliquez ici : EXERCICE DE LA BALANCE

 

 

 

 

 

Devenez egophile !!

 

love u 300x285 - Devenez egophile !!En coaching, l’égoïsme sain désigne l’attitude qui consiste à enfin prendre soin de soi, de ses désirs, de ses limites. Cette notion est primordiale pour avancer.
Si j’admets ma responsabilité pour la part qui m’incombe dans tous les évènements de ma vie, je comprends l’importance de « prendre soin de qui je suis ».
Car si je suis mal, comment faire pour que les choses aillent bien ?
« Charité bien ordonnée commence par soi-même » dit le dicton.

Le coaching dit la même chose en utilisant cette expression d’égoïsme sain.
Toutefois, l’égoïsme a si mauvais réputation, qu’il est difficile d’admettre et de faire admettre cette évidence. Pour pallier cette réticence, j’ai inventé un barbarisme pour remplacer ce mot connoté de façon trop péjorative : l’égophilie, l’amour de soi.
J’ai d’ailleurs été stupéfaite que ce vocable n’existe pas.

Ainsi,l’amour de soi ne serait qu’excès ? Le Siècle des Lumières qualifiait l’égoïsme     « d’attachement excessif à soi ». Aujourd’hui encore, la définition partagée, est            « d’être UNIQUEMENT centré sur soi ».
Quel paradoxe que l’on doive, soit, s’aimer avec excès, soit ne pas s’aimer.
Et l’entre deux ? S’aimer raisonnablement ? Sans passion mais avec bienveillance ? Être à la fois à l’écoute de l’autre, et de soi ?
C’est la troisième voie que je vous propose : celle de pratiquer l’amour de soi, l’EGO-PHILIE.

Apprendre à dire NON en 3 étapes

Fotolia 67591673 XS 300x211 - Apprendre à dire NON en 3 étapesNON : 3 lettres, un tout petit mot qui permet de penser grand. Ce simple mot est la terre promise de certains (un jour j’y arriverai !), le paradis perdu d’autres.

Et pourtant, quoi de plus naturel que de dire non ?

Observez les enfants, c’est le 1er mot qu’ils prononcent, sans même faire de distinction entre acquiescer, nier ou contester.

 » – Tu veux du gâteau ?

– Non  » répond-il, tout en le prenant.

 » – Tu as fait pipi dans ta culotte ?

– Non  » dément-il, le pantalon auréolé.

Alors que nous est-il arrivé ?

Qu’avons-nous perdu en chemin ?

La légèreté ? La faculté de tout dire ? Le bon, comme le moins bon ? L’inconscience ou l’insouciance de blesser, froisser, celui à qui on répond ? Un peu de tout ça à la fois.

Mais à trop vouloir prendre soin de l’autre, ce qu’il veut entendre, ce qui lui fait plaisir, je m’oublie.

De quoi ai-je besoin ? Envie ? Qu’est ce qui est bon pour moi ?

Et si le NON était un oui pour soi, et pas un non contre l’autre ?

Dire non, cela consiste à prendre soin de soi, à être à l’écoute de soi, de ses besoins, de ses envies.

La bonne nouvelle ? ça s’apprend !

La solution gagnante ? Avant de dire non, apprenez déjà à retarder le oui !

Première étape pour y parvenir : prenez toujours une grande inspiration avant de répondre.

Ces quelques secondes vous permettront de vous interroger (qu’ai-je envie de répondre ? oui ou non ?) et de gagner du temps pour formuler une réponse adaptée.

Deuxième étape : différez votre réponse, par une formule passe partout. Par exemple, « je ne peux pas te répondre tout de suite », « je te rappelle », « je ne crois pas que ce soit possible, je vérifie avant », etc…

Troisième étape : en même temps que vous répondez non, proposez une alternative. Par exemple : « Non, aujourd’hui c’est impossible, mais demain, si tu veux, avec plaisir ».

Ces différentes étapes rendront moins abrupte votre refus, et vous rassurera sur le fait que l’on peut dire non et être aimé(e) quand même.