Valeur ? Liberté !

Pour mon premier article de l’année 2015, j’avais envisagé un sujet léger, empreint d’optimisme et de bonnes résolutions.

L’actualité a bouleversé les Français, et modifié mes projets.

Toutefois, en coach résolument positive, j’essaie de trouver dans cette tragédie ce qu’il y a de grandiose, faute de positif.

Et j’ai trouvé : le rassemblement spontané, la solidarité instantanée, la communion dans la douleur et ce message puissant, partagé par les lecteurs et les détracteurs de Charlie, « Je suis Charlie ».

Oui, je suis Charlie, nous sommes tous Charlie, car comme eux, nous partageons une valeur commune : le goût de la liberté. Une valeur universelle certes, mais qui caractérise surtout notre pays. Liberté inscrite sur le fronton de tous les édifices publics, liberté chérie qui renforce la solidarité entre nous, liberté, pierre angulaire de notre société. Liberté offerte à l’Amérique avec La Fayette et plus tard avec une statue. Cette liberté qui éclaire le monde est avant tout la nôtre.

Liberté de penser, d’écrire, de s’exprimer, de ressentir, de vivre selon son propre et unique choix.

Comme un individu doit savoir ce qui fait sens pour lui, ce qui le caractérise et le distingue de ces semblables, notre pays a enfin retrouvé ce qui fait sa fierté d’être ce qu’il est, ce qui fait sa différence et son unicité.

Hier, il m’est arrivé d’avoir honte d’être française (honte à moi !), aujourd’hui je suis plus fière que jamais. Je vous invite à éprouver ce sentiment de fierté qui renforce la confiance en l’avenir, la confiance en l’autre, la confiance en soi.

Que 2015 soit donc l’année de la liberté et de la fierté retrouvée.

Confiance, peurs et coaching ?

Existe-t-il être plus confiant que le bébé qui vient de naître ? Il est dépendant de tout, en tout, pour tout. Et pourtant, il ne doute pas, il ne redoute pas.

Pourquoi ?

Parce qu’il sait que nous sommes là pour lui, que quelqu’un va s’occuper de lui, et dans la majorité des cas, il a raison.

Et nous ? Qu’avons-nous fait de cette confiance inébranlable en la vie, en l’avenir ?

Vivre sans confiance, c’est respirer entrecoupé d’apnées régulières, c’est vivre et respirer à moitié. Le souffle de la vie est pétri de la confiance, que, si je donne le meilleur de moi-même, si je pose des actions cohérentes, alors la vie pourvoira au reste.

La confiance (étymologiquement « croire ensemble ») ne veut pas dire crédulité.

La crédulité est l’œuvre d’un seul face à d’autres, par exemple la victime d’une escroquerie, face à un réseau.

En revanche, la confiance, signifie croire ensemble que la vie est belle, qu’il y a d’avantage de personnes bonnes, généreuses, honnêtes et altruistes que le contraire. La confiance est un a priori positif envers l’existence.

Le miracle ? La vie nous donne toujours raison : si je crois en elle, si j’ai confiance en elle, elle me donnera le meilleur.

En revanche, si je me méfie de la vie, si je doute de tout, je vivrai dans la trahison, la mesquinerie, la parcimonie.

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La confiance insolente du corbeau

A nous donc de choisir : Soit vivre comme l’écureuil, à faire des réserves oubliées et donc perdues pour lui, soit comme le corbeau, sans cellier, ni grenier et qui pourtant ne meurt pas de faim…

Le développement personnel et le coaching en particulier, effacent les peurs, restaurent la confiance : confiance en soi, en l’avenir, en l’autre, dont nous avons extrêmement besoin au quotidien !

 

Cessons de courir après le temps !

Cessons de courir après car il est plus rapide que nous !

Hier, après avoir déposé ma fille à l’école, j’ai été prise en chasse par mon fantôme.

horloge 200x300 - Cessons de courir après le temps !

La gestion du temps est devenue cruciale

Je connaissais l’expression être rattrapé par ses démons, mais pas dépassé par ses fantômes !

Car la jeune femme qui, hier, m’a « collée » de très, très près en voiture, puis doublée inconsidérément… c’était moi.

Moi, avant.

Toujours pressée, toujours à vouloir « gratter » quelques minutes, quelques secondes, quelques centièmes de secondes…

Et puis j’ai compris.

L’important n’est pas le temps que nous prenons pour faire les choses, l’important est ce que nous ressentons en les faisant, dans quel état d’esprit nous le faisons.

Lorsque j’expédie un repas en pensant à ce j’ai à faire ensuite, lorsque je regarde ma montre quand quelqu’un me parle, je ne suis ni en train de manger, ni en train de communiquer.

Si mon obsession est de toujours en faire plus, même si j’ai déjà fait beaucoup, je serai toujours insatisfait.

Quand je bâcle tout ce que j’entreprends, pour vite faire autre chose, je ne suis jamais vraiment à ce que je fais.

Je suis un peu dans le présent, un peu dans un futur vague et hypothétique, celui que j’imagine, celui que je redoute, celui que j’espère.

Celui qui, au final, ne sera peut-être jamais.

Car, en réalité, le futur reste un conditionnel, il est toujours suspendu à la condition « que je sois encore là pour faire ce que je me suis engagé à faire ».

Vivre l’instant présent, encore et toujours lui !

Et surtout, le vivre au bon rythme, au bon tempo.

Savoir dire, ou se dire « c’est assez », savoir prendre le temps nécessaire à tout, m’offre l’opportunité d’en faire moins, sans doute (quoique !), mais tellement mieux.

Sur la piste de danse de la vie, pensons également à alterner rocks endiablés et slows langoureux  !

Cessons de confondre profit et rentabilité : Si je désire profiter au mieux de ma vie, je dois au contraire renoncer à la rentabiliser…

Qui suis-je ?

 

« Connais-toi toi-même » prônait la philosophie socratique sur le fronton du temple de Delphes.

C’est-à-dire « prends conscience de ta mesure, prends conscience de tes atouts comme de tes limites. »

C’est sur ce pilier que l’individu se construit.

point dinterrogation 150x150 - Qui suis-je ?

Qui suis-je ?

  • Comment poser des limites si j’ignore les miennes ?
  • Comment trouver ma place si j’ignore mes contours ?
  • Comment m’améliorer si j’ignore mes défauts ?
  • Comment me surpasser si j’ignore mes qualités ?

La connaissance de soi est le fondement même d’une vie.

Étrangement, nous passons davantage de temps à nous intéresser aux autres plutôt qu’à nous-même. Et surtout, surtout, nous commettons l’erreur funeste de croire que sous prétexte que nous nous fréquentons depuis un certain temps, nous nous connaissons bien.

En réalité, c’est tout le contraire qui se joue : notre promiscuité quotidienne avec nous même, nous éloigne davantage de notre soif de découverte. Ma curiosité naturelle est en sommeil, engourdie par le fléau de l’habitude.

Je vous invite à vous réveiller, à secouer votre curiosité, à vous lancer dans cette formidable aventure qu’est la découverte de soi. C’est le programme que je vous propose de suivre par le biais d’un coaching ou d’une formation sur le thème de l’estime de soi.

Devenez egophile !!

 

love u 300x285 - Devenez egophile !!En coaching, l’égoïsme sain désigne l’attitude qui consiste à enfin prendre soin de soi, de ses désirs, de ses limites. Cette notion est primordiale pour avancer.
Si j’admets ma responsabilité pour la part qui m’incombe dans tous les évènements de ma vie, je comprends l’importance de « prendre soin de qui je suis ».
Car si je suis mal, comment faire pour que les choses aillent bien ?
« Charité bien ordonnée commence par soi-même » dit le dicton.

Le coaching dit la même chose en utilisant cette expression d’égoïsme sain.
Toutefois, l’égoïsme a si mauvais réputation, qu’il est difficile d’admettre et de faire admettre cette évidence. Pour pallier cette réticence, j’ai inventé un barbarisme pour remplacer ce mot connoté de façon trop péjorative : l’égophilie, l’amour de soi.
J’ai d’ailleurs été stupéfaite que ce vocable n’existe pas.

Ainsi,l’amour de soi ne serait qu’excès ? Le Siècle des Lumières qualifiait l’égoïsme     « d’attachement excessif à soi ». Aujourd’hui encore, la définition partagée, est            « d’être UNIQUEMENT centré sur soi ».
Quel paradoxe que l’on doive, soit, s’aimer avec excès, soit ne pas s’aimer.
Et l’entre deux ? S’aimer raisonnablement ? Sans passion mais avec bienveillance ? Être à la fois à l’écoute de l’autre, et de soi ?
C’est la troisième voie que je vous propose : celle de pratiquer l’amour de soi, l’EGO-PHILIE.

Un esprit sain dans un corps sain ? Le test !

mercedes benz limousine 83997 960 720 300x225 - Un esprit sain dans un corps sain ? Le test !

Le corps est le véhicule de l’âme

Le corps est le véhicule de l’âme.

Or, il est stupéfiant de voir des personnes prendre davantage soin de leur voiture que de leur corps !

Aucun automobiliste sensé ne songerait à mettre du super dans une voiture diesel au prétexte qu’il préfère l’odeur du super.

Dans ce cas, pourquoi, alors que notre corps est composé à 65% environ d’eau, continuons-nous de boire du soda ?

Sachant que nous sommes omnivores et avons besoin de l’ensemble des vitamines et minéraux pour bien fonctionner, quelle idée saugrenue de suivre un régime exclusivement dédié aux uns ou aux autres !

Sachant  que la nourriture du corps est également celle du cerveau, comment peut-on espérer réfléchir correctement en avalant n’importe quoi ?

Si certains produits sont diabolisés un peu « injustement » (la caféine, par exemple qui agit sur l’amélioration des fonctions cognitives), en revanche, la plupart des aliments industriels sont « diabolisés » à juste titre.Trop sucrés et ou trop gras, tous les test scientifiques démontrent qu’ils détériorent les « circuits ».

Chérir son corps, c’est être à son écoute, en prendre soin, le respecter, lui apporter ce dont il a réellement besoin, et non pas céder à des phénomènes de modes alimentaires ou à la facilité en privilégiant le tout prêt.

Chérir son corps, ce n’est ni le torturer en faisant du sport à outrance, ni l’ignorer et le laisser croupir dans un canapé.

Chérir son corps, c’est l’entre deux de tout ça : lui offrir tout ce dont il besoin, avec modération, trouver cet équilibre précieux entre exercice et repos, entre satiété et gavage, entre tyrannie de l’esthétique et laisser aller.

Et vous, que faites-vous pour votre corps ? Prenez-vous davantage soin de votre tête que de lui ? Ou est-ce le contraire ?

Si vous notez un déséquilibre, si vous avez le sentiment de négliger, voire de mépriser l’un ou l’autre, il est temps d’agir !

Nous avons deux yeux : l’un pour l’introspection (ma tête, mon esprit, mon âme), l’autre pour se regarder (mon corps), pensez à les utiliser en remplissant le petit auto-diagnostic que je vous propose d’imprimer : autodiagnostic équilibre

Si je devais en choisir un

Image JPEG 212 × 346 pixels 183x300 - Si je devais en choisir un

J’ai choisi aujourd’hui de vous présenter un livre, LE livre.

Avez vous déjà réfléchi au livre que vous aimeriez avoir si vous étiez seul sur une île déserte ?

Moi, oui. Et, si je ne devais en prendre qu’un, ce serait celui-ci.

Si je pouvais en prendre davantage, alors je prendrai ses frères et sœurs, car, Frédéric Lenoir, en plus d’être génial, est prolifique.

Ce petit traité porte bien son nom : il enseigne de façon érudite, mais abordable, tous les enseignements indispensables pour avoir une vie riche, belle, et sereine.

De quoi faire rêver, non ?!

Vous l’aurez compris, à consommer sans modération…

Comment être sûr de prendre la bonne décision ?

boule de cristal 300x200 - Comment être sûr de prendre la bonne décision ?Ah ! qui n’a jamais rêvé d’être voyant afin d’être sûr de faire le bon choix ?

Voir l’avenir et ses conséquences, pour se prémunir de tout regret ?

Car ce qui rend le choix si difficile, est la crainte de se tromper, de regretter par la suite, finissant sa vie en se disant « si j’avais su ».

Et pourtant, il y a un moyen bien plus simple d’éviter cela…

En décidant, une fois pour toute, que, quoique je décide, ce sera LA bonne décision, pour moi.

A quoi bon, en effet, revenir en pensée sur quelque chose que je ne peux plus modifier ? A quoi sert le « si j’avais su » ? Sinon à se morfondre et rajouter des regrets inutiles ?

Non, quand je prends une décision, je la marie avec son meilleur ami, « zéro regret » : ils forment un couple harmonieux, qui me garantit pour descendance, plein, plein, de belles journées sereines et sans regrets.

Vous avez dit coupable ?

Responsabilité : Etre à l’origine de, la cause de.

Culpabilité : être la cause de la faute, du mal.

Qui fait la différence aujourd’hui entre responsabilité et culpabilité ?

Et pourtant la nuance est de l’ordre du fossé. Nous sommes tous responsables de nos actes, de notre vie, de ce qui nous arrive, a minima pour la part qui nous incombe.

Mais sommes-nous coupables ? Non, pas toujours, pas souvent, voire rarement.

Et pourtant, qu’il est difficile de dire et s’entendre dire « c’est toi qui a voulu, fait, choisi, ceci ou cela ». Quand les choses tournent mal, chacun se défend, cherche à limiter sa responsabilité dans les évènements.

Et si l’on tente de mettre en cause notre responsabilité, cela se transforme en un long plaidoyer, durant lequel nous tentons de démontrer notre innocence.

Plus rarement nous assumons et avouons simplement : « oui, c’était mon choix à l’époque, mais aujourd’hui ça ne me convient plus. »

Que de temps perdu à prouver son innocence plutôt que de chercher la partie en nous « responsable de », celle que nous contrôlerons à l’avenir pour éviter que cela ne se reproduise…