Déguisement : Bas les masques !

masques 300x225 - Déguisement : Bas les masques !À la veille d’Halloween, période propice au déguisement, j’ai eu envie de parler de nos personnages.

Ceux que nous jouons, ceux que nous laissons voir de nous, ceux dont nous sommes devenus prisonniers, parfois à notre insu.

Il y a quelques temps, une amie, une vraie, m’a fait un aveu et un cadeau. Elle m’a dit ce qu’elle percevait de moi du temps que nous travaillions ensemble.

J’ai été touchée, et un peu attristée de ce que j’ai entendu.

Car ce qu’elle décrivait de moi était à la fois tellement vrai (ce que je donnais à voir) et tellement faux (ce que je ressentais).

Le Français a la réputation d’être râleur, et je dois dire que j’étais à la hauteur de la réputation ! Je pratiquais cette discipline avec application, la cultivais, j’en jouais, je me dépassais.

En réalité, c’est moi qui étais dépassée.

Mon personnage avait pris le pas sur mon identité.

Mes réactions étaient devenues prévisibles, là où je croyais être naturelle et spontanée !

En clair, méfions-nous de ce que l’on donne à voir de nous, car l’Autre, celui qui nous sert de miroir est un miroir sans tain.

Il reflète ce qui se tient devant lui et préserve des regards ce qui se cache derrière.

Derrière, se trouvent nos pensées, notre moi intérieur et profond, le sien, ses pensées, ses émotions.

Cela signifie que l’entourage peut continuer de rire par habitude de choses qui ne l’amusent plus.

Mais, il peut également se taire sans cautionner pour autant ce qui vient d’être dit.

Le dicton nous a laissé croire que si l’autre acquiesce ou ne dit mot c’est qu’il consent : grave erreur !

L’autre peut se taire :

  • par respect,
  • par lassitude,
  • parce qu’il n’a pas l’envie, le courage, l’énergie de s’opposer,…

Cela ne signifie aucunement qu’il approuve.

Dans ce contexte, les relations professionnelles ou personnelles sont biaisées. Chacun joue un jeu, un jeu de dupes qui pourrait s’appeler « je ne suis pas celui ou celle que tu crois », ou « je ne pense pas ce que tu crois que je pense ».

Difficile, vous en conviendrez, de s’y retrouver dans ces conditions!

Au départ, il y a seulement un jeu, on fait comme les enfants :« viens, on joue à », « viens on fait comme si… ».

Et progressivement ce texte devient le nôtre. Nous devenons, qui, le râleur, le boute en train, le cynique, le désabusé, l’optimiste, le bon copain de service !

Lorsque l’on s’est perdu dans le jeu, il est temps de dire pouce, de poser le déguisement et de reprendre sa véritable identité, se reconnecter à son moi véritable…

L’art de convaincre : ma recette

Tout le monde peut convaincre, surtout quand TOUT lui donne raison.

En revanche, il arrive que même si la raison est de notre côté, on puisse la perdre.

megaphone - L’art de convaincre : ma recette

Convaincre sans hurler

Au 19ème siècle, le Dr Semmelweis en a fait les frais.

Alors qu’on aurait dû crier au génie et le décorer, ce pauvre Docteur, un brin maladroit, a fini en camisole, après s’être attiré les foudres du monde médical au grand complet !

Comment a-t-il pu en arriver là ?

Comment une personne aussi brillante, père de l’antisepsie, a-t-il pu passer pour fou ? Alors que les faits, les chiffres, l’avenir et Pasteur lui ont donné raison ?

Simplement parce qu’il ne savait pas COMMUNIQUER et encore moins convaincre !

Plutôt que de partir d’un constat : l’inégalité du taux de mortalité entre les deux pavillons de la maternité (10% dans le sien, contre 3% dans celui d’en face !),

Et de rester sur des faits : grâce à l’antisepsie imposée dans le pavillon des étudiants en médecine, les deux taux étaient enfin revenus à l’équilibre (3%, le taux incompressible de l’époque),

Ce malheureux docteur s’est engagé sur la voie des opinions et des sentiments : « Vous êtes tous des assassins ! Je suis le seul à avoir compris !… »

Or :

  • Les opinions sont toujours discutables, il ne s’agit que d’un point de vue.
  • Les sentiments sont toujours, et par définition, vrais pour la personne qui les ressent.
  • Seuls les faits peuvent conduire au consensus, ou a minima à une discussion dépassionnée.

Oui, on peut tout dire, mais dans un monde où la forme prime souvent sur le fond, encore faut-il savoir le dire ! Surtout lorsque l’on est seul à hurler contre les loups !

Dans ce cas, mieux vaut ne pas hurler, mais simplement, à l’image de Mandela ou Gandhi faire preuve d’une grande assertivité, c’est-à-dire savoir se faire entendre, en restant campé sur ses positions tout en restant à l’écoute de l’autre.

Un exercice parfois difficile à faire mais tellement, oui, tellement gratifiant lorsqu’on en maitrise les ressorts.

Le cocktail idéal ? Toujours la Loi de Paretto !

80 % de faits, 20 % de sentiments, les vôtres comme ceux de votre (vos) interlocuteur(s) !

Halte à la contagion !

 grog 53361 640 300x212 - Halte à la contagion !La peur de la contagion…

Aujourd’hui, j’ai invité une amie à déjeuner à la maison. Ce matin, elle était prête à se décommander en raison d’un début de rhume, craignant de me contaminer.

N’écoutant que mon courage 😉 et mon envie de la voir, je l’en ai dissuadée.

Sa prévenance envers moi m’a inspiré les questions et réflexions suivantes.

  1. Faisons-nous preuve de la même attention lorsqu’il s’agit d’un mal être moral ?

Oui, souvent. Ce qui explique que lorsqu’une personne a le moral en berne, qu’elle est envahie d’émotions négatives et se sent pour le coup « contagieuse », elle s’isole.

  1. Avons-nous raison de nous isoler ?

Oui et non.

Oui, s’il s’agit d’un léger blues que l’on sait pouvoir régler seul(e) en une journée. Il est même salutaire en pareil cas, de se débrouiller seul(e), d’accepter d’aller moins bien, de faire le tri avec soi.

Ou, si la personne à qui l’on souhaite se confier est encore moins en forme que nous . Car dans ce cas, et en dépit de sa bonne volonté, elle ne pourra pas nous écouter « utilement ».

Non, s’il s’agit de quelque chose qui pourrait devenir sérieux : un mal être qui s’est installé, un problème qui accapare notre corps et notre esprit.

Car le risque de l’isolement, est que nous ne laissons pas la chance aux autres de nous aider, nous ne leur offrons pas la possibilité de choisir, comme l’a fait mon amie à midi.

  1. Et si nous osons demander de l’aide, qu’attendons-nous vraiment ?

Ni jugements, ni conseils, ni modèle !

Car contrairement à ce que j’ai dit plus haut, l’isolement n’est pas dû à la peur de contaminer les autres mais davantage à la crainte d’être :

  • Jugé(e): « tu as tout pour aller bien, qu’est ce qui se passe ? tu ne t’écoutes pas un peu trop ? »
  • Assommé(e) de bons conseils: « et pourquoi tu ne… ? tu devrais plutôt… »
  • Agressé(e), humilié(e) par la forme olympique et insolente de notre interlocuteur : « moi ? Toujours au top, le travail nickel, la famille, formidable, financièrement, je ne sais plus comment le dépenser. Et toi ? Ça n’a pas l’air d’être la joie ! ».

Non, ce que nous attendons tous en réalité est avant tout d’être écouté(e) et entendu(e), avec bienveillance et empathie.

L’empathie (« souffrir aux côtés de ») de Carl Rogers est sans doute le meilleur rempart à la contagion, car elle évite de souffrir avec (étymologie de la sympathie) ou de souffrir contre (l’antipathie ressentie face au modèle insolent !).

En clair, l’écoute empathique et bienveillante d’un(e) ami(e), d’un(e) coach, est à la déprime, ce que le grog est au rhum, un puissant antidote !

De l’utilité des crises

Arbre 300x225 - De l'utilité des crisesNous craignons les crises, alors que…

 » L’Italie sous les Borgia a connu 30 ans de terreur, de meurtres, de carnage… Mais ça a donné Michel-Ange, de Vinci et la Renaissance.
La Suisse a connu la fraternité, 500 ans de démocratie et de paix. Et ça a donné quoi ? … Le coucou ! « 

Outre la drôlerie, cette réplique du film « Le troisième homme » a le mérite de dire une vérité rarement rappelée *.

C’est de l’adversité que naissent les plus grands progrès.

L’histoire, la petite comme la grande, le démontre bien.

C’est ainsi que durant la seconde guerre mondiale, les Anglais en cassant le code allemand Enigma ont également « inventé » l’ancêtre de l’ordinateur. Qui peut affirmer que je serais en train d’écrire ce mail sur un portable si Enigma n’avait pas existé ? Qui peut dire que la toile, sans laquelle ce blog n’existerait pas non plus, aurait vu le jour si l’armée n’avait pas cherché à créer un vaste réseau de communication ?

Dans ces exemples extrêmes, le prix à payer est terrible et j’en conviens. Heureusement dans notre quotidien, le tribut est moins lourd. Alors, dans ce cas, pourquoi ne pas rechercher et regarder le bénéfice induit par les grands changements et les crises que nous vivons ?

Aujourd’hui, la tendance est de vouloir que tout se passe bien, tout le temps, partout. Si nous devons tous tendre au bien être, il ne s’agit pas non plus d’éviter tous les désagréments et se protéger de tout.

S’agit-il de protection ou de fuite ? Ne prend on pas le risque de s’endormir ? Est-il raisonnable de vouloir se mettre à l’abri de tout ? Notamment des crises, des conflits, des difficultés, professionnelles ou familiales ?

Aussi douloureuses soient-elles et nul ne peut le contredire, elles ont aussi le mérite de faire avancer, grandir, progresser.

Je crois que c’est le créateur de la chaîne d’hôtels Marriott qui a écrit :

« Le bon bois ne pousse pas dans la facilité, plus le vent souffler fort, plus l’arbre est robuste », une image qui me semble bien plus éclairante que tous les discours.

Quelle(s) crise(s) avez-vous traversée(s) ? Qu’en avez-vous retiré ? Qu’avez-vous appris ? Se peut-il qu’elle(s) vous ai(ent) rendu service à votre insu ?

Certes, un inventaire difficile à faire seul, mais nécessaire, pour en sortir à l’image du bois, encore plus fort, riche d’un enseignement précieux. Si cela vous semble trop ardu, faites-vous aider par votre coach-formatrice spécialisée en développement personnel ! 😉

 

*Que nos amis Suisses n’en prennent pas ombrage !

Habitudes : des chaines coriaces

chaines rompues 300x225 - Habitudes : des chaines coriacesNos habitudes ont la vie dure.

Hier, j’avais rendez-vous avec mon dentiste. Lui qui est à l’ordinaire si ponctuel, m’a laissée attendre plus d’un quart d’heure. J’ai d’abord soupiré, ronchonné intérieurement, car je m’étais de mon côté pressée pour être à l’heure.

Puis je suis passée en mode coaching. « Pourquoi suis-je si contrariée ? Ce n’est pas la première fois que je patiente dans une salle d’attente ! Je n’ai qu’à en profiter pour faire un peu de relaxation ! Nombre de professionnels prennent du retard, ce n’est pas si étonnant ».

Pas étonnant chez les autres, mais mon dentiste, LUI, n’est jamais en retard !

J’ai alors compris que mon agacement était dû en réalité à ce qu’il m’avait habituée à être à l’heure.

Cela m’a inspiré la réflexion suivante :

Méfions-nous des trop bonnes habitudes que nous donnons aux autres et qui nous privent du droit au changement. Si vous avez été serviable, gentil, dévoué durant des années, et que vous décidez de l’être un peu moins pour mieux vous occuper de vous, vous attirerez les foudres de tous ceux qui ont bénéficié durant toutes ces années de vos attentions. Votre entourage aura le sentiment de subir le changement, et oubliera sous le coup de la surprise vos bons et loyaux services passés.

L’être humain se montre alors très ingrat : dans la salle d’attente plutôt que de me dire « tiens c’est la 1ère fois qu’il est en retard, ce n’est pas grave», j’ai oublié tous les rendez-vous honorés à l’heure pour focaliser sur celui-ci.

Alors que j’ai fait preuve d’une patience exemplaire chez des praticiens bien moins ponctuels…pour la simple et bonne raison qu’ils m’avaient également habitué à leur retard !

La force de l’habitude, bonne ou mauvaise pèse lourd face au changement.

Mes propres habitudes, celles que j’ai données aux autres, entrainent des résistances, sont des freins difficiles à lever et courant dans les entretiens de coaching.

Toutefois ne pas faire l’effort de les lever, revient à se priver totalement du changement,.

Dommage, lorsque l’on sait, qu’il suffit simplement de se préparer aux réactions de l’entourage…

Avis et témoignages sur le coaching

livre dor 300x199 - Avis et témoignages sur le coachingPour ceux qui sont encore réfractaires et méfiants envers le coaching,

je vous livre ici les avis et témoignages des clients qui ont eu la gentillesse d’accepter la diffusion de leurs commentaires.

« Une belle personne de confiance

qui a le professionnalisme et les qualités humaines pour réussir à atteindre notre objectif. A travers des exercices réalistes et en sujet avec l’objectif en question, les progrès se montrent très rapidement. Pour nommer le coaching en deux mots : EFFICACE et VRAI »

Mr NPC, 73

« Le coaching permet de remettre en question certaines croyances, mais aussi de conforter certaines manières de travailler, ce qui est rassurant.

Tout le monde devrait, au cours de sa carrière ou même de sa vie personnelle bénéficier d’un coaching pour améliorer ses relations aux autres et aller dans le bon sens, celui qui fait grandir les deux parties et les tire vers le haut ! »

Mme A.R, 73

« J’ignorais ce qu’était réellement le coaching et suis agréablement surprise par celle nouvelle expérience…

Tu m’as aidé à poser un autre regard sur mes blocages, et surtout, tu m’ as apporté des outils concrets à mettre en place rapidement, en guise de solution.. J’ai en quelques séances perçu des changements qui me permettent d’être plus en paix avec moi même et les autres… Ta simplicité, ton écoute, ton professionnalisme et ton énergie positive, a fait de ce coaching une expérience précieuse et passionnante, et me montre que l’on peut avancer plus sereinement, en supprimant nos fausses croyances et en trouvant des solutions concrètes aux aléas de la vie… Merci Infiniment Fred! »

Mme F.C, 73

« Frédérique met en place un accompagnement de grande qualité, structuré et pertinent.

Les séances sont très enrichissantes et permettent de faire des avancées conséquentes sur soi et ses projets. J’ai travaillé en toute confiance et en profondeur des sujets qui me paraissait difficiles. J’ai découvert au cours du coaching ce que je devais travailler pour gagner en efficacité. Tout en douceur et en bienveillance, Frédérique a réussi à m’accompagner sur le chemin du lâcher prise, de l’acceptation de soi et des autres et de la communication bienveillante. Je sais maintenant que je possède en moi les ressources nécessaires. Je recommande vivement les séances de coaching avec Frédérique.  »

Mme D.S, 73

« Cela m’a permis de recentrer mes idées, et de déterminer un objectif, et de mieux comprendre ma valeur »

Mr F.M, 73

« Ce coaching m’a aidée à mieux communiquer tant dans ma vie personnelle que professionnelle et à mieux m’affirmer. »

Mme V.A, 74

« Gérante de société, autodidacte, le coaching m’a fait prendre conscience de mon parcours professionnel. »

Il m’a permis de faire un point sur mes points faibles et mes points forts. Au fur et à mesure des échanges, il m’a permis de construire une communication en adéquation avec le milieu professionnel dans lequel j’évolue mais aussi d’adapter mon discours à mes équipes. Le soutien de mon coach a été perspicace et sans faille. Je recommande vivement de prendre le temps du regard sur soi, de se former et ainsi évoluer plus rapidement.

Mme F.E, 73

« Ce coaching m’a aidé à reprendre confiance en moi et prendre les rênes de ma vie. »

Mr C.S, 73

 » Des petites choses qui me font voir la vie avec un autre regard

en pensant plus à moi et en apprenant jour après jour à lâcher prise »

Mme CC, 73

 » Le coaching de Frédérique m’a permis de voir les choses « sous un autre angle » « 

et va me permettre d’avancer dans « ma » bonne direction. Merci, je recommande vivement !

Mr JPR, 73

« Cette expérience m’a permis de me recentrer sur l’essentiel

De prendre conscience qu’il est important de connaitre ses valeurs et de les respecter. Cela parait évident mais avec le poids du quotidien on a tendance à l’oublier. Grâce à ton regard neutre (je n’ai pas trouvé mieux comme terme) et bienveillant j’ai pris confiance en moi pour me projeter dans l’avenir avec sérénité, confiance et envie. »

Mr A.C,73

« Je ne savais pas en quoi les séances allaient m’aider »

je ne visualisais pas une situation possible. Et sans vraiment réaliser, j’ai changé ma vison des choses au quotidien, je suis devenue plus positive et confiante.

Melle J.P, 74

« C’est une première pour moi puisque je n’avais jamais eu recours au coaching »

J’ai été un peu déstabilisée par la familiarité qui est instaurée dès le début, en comparaison des accompagnements plus psychanalytiques. J’ai vraiment apprécié cet accompagnement : entre le temps de discussion et le temps des exercices pratiques qui constituent une base méthodologique à laquelle on peut se référer plus tard.

Mme C.P, 73

 » Le coaching m’a permis de me libérer de mes blocages au quotidien « 

et de réussir à m’accepter telle que je suis sans complexe. Surtout de pouvoir dire ce que je pense et de pouvoir me libérer des dépendances affectives. De vivre ma vie pleinement sans me créer de contraintes. Un grand merci à ma coach Frédérique Lemoine

Mme A.A, 73

« Bonne expérience. »

On se sent écouté, et cela m’a permis de me « voir » sous un autre angle. Ce qui va me permettre de continuer plus sereinement sur le chemin de mon évolution personnelle !

Mr N.A, 73

« Je suis arrivée en coaching durant une remise en question totale sur ma vie, éteinte, comme anesthésiée. »

Ce coaching m’a permis tout d’abord de parler, mettre des mots sur les maux, être écoutée, avoir un retour objectif sur la situation. Tu as été le tuteur qui m’as aider à trouver les bonnes réponses, prendre les bonnes décisions, arrêter d’avoir peur et apprendre à avoir un regard juste et constructif sur moi et ma vie. Merci de m’avoir aidé à m’extirper de cette situation insatisfaisante pour construire et croquer à pleine dent cette nouvelle vie.

Melle M.A, 73

« Frédérique a su mettre l’accent sur les questions essentielles dès notre premier entretien. »

Elle nous pousse à la réflexion afin que nous puissions répondre nous même à notre problématique tout en nous guidant avec un regard objectif et professionnel. Je recommande vivement ce type de coaching et surtout la super coach !

Mme C.N, 73

« Le hasard d’un tirage au sort m’a fait gagner un coaching de 3 séances avec Frédérique, »

Moi qui suis également coach, joli clin d’œil. Frédérique a tout de suite été a l’essentiel avec moi, travaillant sur mes axes d’améliorations, ce qui me restait à travailler en priorité. J’ai reconnu en Frédérique une coach très à l’écoute, à la fois dans la bienveillance et dans le parler vrai, toute l’attitude qu’un coaché attend d’un accompagnateur compétent. Merci à Frédérique pour cette belle complicité professionnelle.

Mr R.V, 74

 « J’ai déjà recommandé le coaching à deux personnes de mon entourage. »

Le coaching permet d’avoir un œil extérieur et une prise de recul efficace quand confrontée a un blocage et aucune solution en vue de notre point de vue. Les outils proposés sont adaptés et les séances d’échange sont un appel au travail personnel et a un approfondissement personnel grâce aux pistes, lectures et outils données. Aucun regret sur cet investissement financier, pour avoir les clés en main pour affronter le monde du travail, la communication et approfondir les expériences vécues. Merci !

Melle S.DL, 73

 » Ma vie ressemblait à un rubicube sans aucunes faces de la même couleur alors j’ai décidé de me faire coacher ! « 

Frédérique m’a guidée pour me recentrer sur moi-même, me poser les bonnes questions et surtout trouver les bonnes réponses ! Son énergie positive, son professionnalisme et son enthousiasme sont autant d’éléments qui m’ont aidée à avancer dans ce processus. J’ai toujours su qu’il n’y a pas de hasard dans la vie et ma rencontre avec Frédérique l’a prouvée…. Mon rubicube n’est pas encore finalisé mais grâce à elle, j’ai le mode d’emploi !

Mme M.M, 73

« Vos petits trucs m’aident. »

Je pense souvent à vous. Je crois que je me pose maintenant quelques questions, surtout sur l’utilité, le besoin réel, l’impact réel des décisions que je peux prendre, pour in fine « être heureuse » des décisions sans aucun regret. Je m’écoute, un peu plus du moins j’écoute autre chose que mon cœur, mon instinct. Je trouve un équilibre.

Merci, 1000 fois Frédérique, pour votre gentillesse, votre professionnalisme.

Je garde votre contact précieusement.

Mme S.K, 73 (suite à plusieurs conférences)

 » Frédérique est une coach très positive et motivante « 

Durant le coaching, beaucoup d’outils (adressés par mail) m’ont été donné. A partir de là, je me suis sentie guidée, orientée pour atteindre mon objectif, tout en n’ignorant pas que ces outils sont à ma portée bien évidemment mais qu’il faut vraiment les utiliser au fil du temps afin de ne pas perdre la trajectoire de mon objectif final.

A ce jour, je continue à utiliser les outils donnés par Frédérique afin de poursuivre mon objectif.

J’ai également compris des choses sur moi dont je n’avais pas prêté attention.

Merci Frédérique pour ta gentillesse, ton dynamisme, ta contribution à m’aider à évoluer constamment.

Melle MA.C, 69

 » J’ai adoré le coaching ! « 

Frédérique m’a aidée à me rendre compte de mes capacités et de mes compétences. Tout les exercices que l’on a fait ensemble, ont été bénéfiques et ont portés leurs fruits. J’ai atteint mon objectif et j’ai tout simplement réalisé que j’avais repris confiance en moi. »

Melle J.G, 38

 » Cette expérience m’a à nouveau conforté sur le bienfondé du coaching. « 

L’approche pragmatique de cette démarche m’a permis de lister les valeurs fondamentales de ma personnalité et grâce à l’aide de Frédérique, j’ai pu ainsi identifier les critères indispensables à mon futur projet de vie. Merci à toi, Fred!  »

Mr D.B, 73

« J’ai été impressionnée par ta pratique du coaching »

Ton empathie permet de répondre aux moindres questionnements. Tu as un panel énorme de documents bien pensés qui aident à la réflexion et à notre réalisation.

Mme B.D, 75

« Coaching très professionnel »

Beaucoup d’empathie. Frédérique sait aller chercher les choses profondément et poser le bon diagnostic.

Vraiment d’une grande efficacité je recommande vivement !

Mr T.F, 73

« J’étais en souffrance par manque de confiance en moi. »

Frédérique avec ténacité m’a fait prendre conscience de Ma valeur et je ne me considère plus comme une personne incapable mais bien au contraire. Après lui avoir livré l’histoire de ma vie, j’ai pris conscience que compte tenu de mon histoire j’étais au final une personne riche , courageuse et aimante.

Mme I.N, 69

Bonheur : mon outil de mesure !

rentrée - Bonheur : mon outil de mesure !Le bonheur est une quête constante, quelle que soit les étapes de la vie, petites ou grandes.

Et même si nous avons quitté l’école, même si nous n’avons plus d’enfants à charge, la rentrée reste une date importante.

Comme un anniversaire ou la nouvelle année, elle est synonyme d’interrogation, de remise en question.

Ai-je envie de vivre une année similaire à la précédente ?

Ou bien ai-je envie au contraire de changements ?

Si oui, lesquels ?

À quel niveau ?

Pour vous aider à faire ce point et y voir plus clair sur votre degré de satisfaction, j’ai réalisé un petit outil que j’ai appelé le MPB.

En l’honneur de l’amie qui m’a soufflé l’idée? Et aussi parce qu’il s’agit de l’acronyme de « Mesure Personnelle du Bonheur ».

Vous le trouverez en cliquant ici MPB.

Bienvenue dans le monde du changement, du développement personnel et du coaching et bonne utilisation !

« Passe ta commande »

restaurant 18311 640 300x201 - « Passe ta commande »Passe ta commande est sans doute une de mes phrases préférées en coaching.

Elle étonne et surprend souvent, elle fait sourire parfois.

Lorsque je la prononce, mes clients me regardent mi- amusés, mi- inquiets en se demandant ce que je veux leur dire par là, et surtout si je ne suis pas un peu folle !

Puis je leur explique.

Et ils font.

Et puis ça marche !

Passe ta commande signifie simplement que la vie est un immense restaurant.

Il existe deux types de clientèle dans un restaurant.

Celle qui dit au serveur « Amenez moi ce que vous pouvez », ou aux autres convives « Je prends comme vous, je vous fais confiance ».

Avec un peu de chance la personne se régalera, ou à l’inverse regrettera amèrement d’avoir laissé le choix aux autres. Car elle court le risque que le serveur serve ce qui arrange le restaurant : le plat le moins demandé, le dessert de la veille, etc…

Au final, elle se « contentera » de ce qu’on lui présente, plutôt que de consommer ce qu’elle veut vraiment.

Le deuxième type de clientèle dit au serveur : « Je vais prendre un confit de canard en direct et une mousse au chocolat en dessert ». La commande est simple, claire, efficace.

Dans ces conditions, il est rare qu’un serveur apporte autre chose que ce qui a été commandé, et c’est tout le miracle de la commande !

Plus je sais ce que je veux, plus j’ai de chance de l’obtenir ou à défaut de m’en rapprocher en négociant : « Vous n’avez plus de mousse au chocolat ? il vous reste du tiramisu ? Très bien, donnez-moi le tiramisu alors. »

Enfin, la réussite de l’expérience repose sur deux injonctions fondamentales : se donner les moyens de faire, et le faire.

Si je conserve l’image du restaurant, cela signifie :

  1. Avoir les moyens de s’offrir le repas.
  2. Choisir le restaurant en fonction de ce que l’on souhaite consommer.
  3. Et se rendre au restaurant.

Pas très compliqué non ?

A vous de passer votre commande !

  1. Déterminez ce que vous attendez vraiment de la vie.
  2. Mesurez l’écart entre ce que vous avez et ce que vous voulez.
  3. Hiérarchisez des options qui vous permettent de vous en rapprocher.
  4. Mettez en œuvre.
  5. Réajustez si besoin.

Et surtout, surtout, ne renoncez pas !

À vous de jouer !

mikado 742769 1280 300x192 - À vous de jouer !Que l’on aime jouer ou non, la vie est un jeu, un jeu immense.

Pas n’importe lequel, un mikado !

Oui, nous sommes tous une de ces baguettes colorées. Comme dans le jeu, nous nous trouvons tantôt coincés au milieu des autres, tantôt totalement à l’écart du jeu !

Une situation professionnelle insatisfaisante, une vie familiale ou de couple frustrante, et nous voilà comparables à la petite baguette coincée dès le début de la partie.

Comme elle, nous avons la sensation d’être bloqué, de ne rien pouvoir faire, de ne pas trouver d’issue.

En réalité, ce sentiment est lié à l’incapacité à « prendre un risque », à modifier un petit quelque chose qui va modifier l’ensemble du jeu.

Nous nous sentons incapables de sortir de là sans causer de dégâts.

Cette peur du dégât nous paralyse et nous empêche de nous mettre en action, de bouger, simplement.

Exactement le contraire de ce qu’il convient de faire !

En effet, comme au mikado, il suffit que je bouge d’un demi-millimètre la baguette pour que tout le jeu s’en trouve modifié.

À cet instant précis, je le fais souvent en pleine connaissance de cause.

Je sais bien que l’ensemble va bouger mais que faire d’autre puisque je suis « complètement » coincé ?

Que ça bouge ! Voilà ce que je veux précisément !

Que cet équilibre qui ressemble à une prison soit enfin brisé.

Et miracle, ce léger déplacement bouleverse effectivement la configuration….

Tout comme un changement de comportement, d’attitude, de vocabulaire, changera totalement une relation, une situation qui semblait jusqu’alors inextricable.

D’autres, enfin, choisissent par peur de complications et de difficultés, ne pas jouer du tout. C’est la petite baguette qui dès le début de la partie a roulé loin du jeu, loin des autres.

Ce qui la motive à se tenir loin des autres ? Une autre peur. Celle de l’engagement.

Dans la vraie vie, notre petite baguette sera peut-être un une célibataire endurci(e), une personne sans emploi ou avec un emploi sans enjeu.

Et vous ? Quel type de baguette êtes-vous ?

Celle qui a refusé de jouer ?

Ou celle qui est toujours coincée ?

Celle qui a osé bouger ?

Vacances : 5 conseils pour les prolonger

vidage 2015 322 300x225 - Vacances : 5 conseils pour les prolongerÇa y est ! Pour beaucoup d’entre nous déjà, le temps béni des vacances est derrière nous.

Si le temps des vacances est celui du « non-travail », il est aussi et surtout celui de la rupture : d’avec nos habitudes, notre quotidien, notre environnement, notre entourage, etc… curieusement, en reprenant le chemin du travail, nous nous croyons obligés de reprendre le package « travail-routine ».

En réalité, rien ne nous y oblige !

Comment prolonger les bienfaits de vos vacances ? Comment en faire durer le bénéfice ?

Cinq idées pour y parvenir !

  1. Organiser une soirée sur le thème de vos vacances

    Invitez la famille ou des amis pour découvrir la cuisine locale, redécorez votre maison pour l’occasion, écoutez la musique qui a bercé vos journées, vos soirées. Utilisez tout ce que vous pouvez pour replonger un instant dans vos vacances.

  2. Visionner vos photos et vidéos

    Le temps d’un apéro ou pendant un après-midi pluvieux, installez-vous confortablement devant le film de vos vacances.

  3. Enrichir votre petit livre de meilleurs souvenirs 

    Ajoutez vos dernières photos de vacances et/ou anecdotes à cette compilation, à feuilleter de temps à autre le soir avant de s’endormir. Si vous n’avez pas encore réalisé ce petit cahier de souvenirs, que Sonja Lyubomirsky a baptisé « album de joies », je vous invite vivement à vous y mettre : sur un petit cahier, notez vos moments de bonheur, de plénitude, d’émotions intenses, collez des photos, des fleurs séchées qui vous rappellent un lieu, un instant précis de votre vie qui vous a particulièrement plu.

Pour profiter pleinement de ses bienfaits, je vous conseille de l’utiliser avec parcimonie sous peine de routine et de désintérêt. Feuilletez uniquement cet album en cas de spleen, dans les moments de doute, de lassitude, les périodes de « à quoi bon ? ».

  1. Supprimer les écrans 

    Les vôtres, ceux des enfants ! Évitez le 20h et son flot de mauvaises nouvelles, laissez de côté la technologie. Rappelez aux enfants qu’ils ont pu (j’espère !) s’en passer durant leur vacances, et vous aussi !

  2. Rompre avec les habitudes

    Modifiez une ou plusieurs de vos habitudes. Vous avez l’habitude de diner à 20h ? Reculez le dîner d’une demi-heure, voire une heure. Vous prenez toujours le même chemin pour vous rendre au travail ? Trouvez un itinéraire bis. Belle maman vient dîner tous les dimanches midi ? Excusez-vous de ne pas pouvoir la recevoir ce dimanche !

Non, le retour au quotidien n’est pas une fatalité ! J’espère que ces quelques conseils vous permettront d’en retarder le retour dans vos vies, afin de faire durer le plus longtemps possible le bénéfice de vos vacances.

De mon côté je vous laisse, j’ai quelques photos à regarder…