1er mai oblige, mon propos d’aujourd’hui, et des 10 semaines suivantes, portera sur le travail.
Curieux d’ailleurs, que le 1er mai soit à la fois associé à un porte bonheur et au travail !
Mariage de plus en plus fragile, puisque l’emploi est devenu synonyme de tristesse et d’angoisse.
Tristesse d’en avoir insatisfaisant, angoisse de le perdre ou de ne pas en trouver.
Bien que nous lui consacrions, selon une étude récente, seulement 12% de notre vie (contre 40 % au début du siècle dernier), le travail occupe une place toujours aussi importante, voire déterminante dans nos vies.
Il sert à la fois de gagne-pain, de faire valoir, me garantit ou non une notoriété, un statut, une reconnaissance dans une société où, le « tu fais quoi ? » prime sur le « qui es-tu ? ».
Évidemment, ce chiffre de 12% ne reflète pas totalement la réalité, car il comptabilise uniquement le temps de présence au travail.
- Que dire des week-ends consacrés à rattraper ce qui n’a pu être fait durant la semaine ?
- Des vacances, parasitées par l’ordinateur et/ou le téléphone professionnel ?
- Des nuits sans sommeil, envahies par les angoisses du lendemain ?
- De la pression, enfin, omniprésente, qui en s’invitant au domicile est responsable de nombreux burn out…
La durée s’est certes réduite mais à quel prix ? Celui d’une productivité inquiétante !
Si la France se situe en dessous de la moyenne européenne en terme de temps de travail (41.2 heures contre 41.5 dans la zone UE), elle est en revanche devant l’UE (37 euros) et les Etats Unis (41.5 euros) en terme de productivité, avec 45.4 euros par heure travaillée !
Ce qui explique en partie que le monde du travail actuel se rapproche dangereusement de l’étymologie du mot.
Travail vient sans doute du latin tripalium, un instrument de contrainte et de torture.
Il est associé à la douleur, la souffrance, ainsi que le confirme une autre situation qui utilise le même terme : ne parle-t-on pas de travail à propos des femmes qui accouchent ?
Nous sommes donc bien loin du mythe du travail épanouissant et réjouissant que nous souhaitons tous trouver un jour !
Ce mal être au travail représente un tel sujet de société, que j’ai souhaité lui consacrer 10 articles en clin d’œil, puisqu’ils s’intitulent « Les 10 commandements du travail idéal ».
Cette série, sous forme de test, vous permettra de réaliser facilement un auto-diagnostic sur votre propre niveau de bonheur au travail, et d’envisager si besoin une reconversion professionnelle.
Posez-vous simplement la question « Suis-je dans ce cas ? ».
- Vous répondez OUI à 8 et plus, estimez-vous chanceux et surtout restez où vous êtes !
- Votre score se situe entre 5 et 7, voyez ce que vous pouvez modifier pour augmenter ce score. Peut-être suffit-il de peu de choses pour être plus heureux !
- Mais sivous êtes en dessous de 5 ou Si vous êtes à la recherche du travail idéal, il est temps de prendre les choses en main et de décrocher le téléphone ! Coach professionnelle et certifiée, je peux vous aider à trouver l’emploi qui vous comblera.
A la semaine prochaine pour le 1er commandement, intitulé « Dans de bonnes conditions, tu travailleras ! ».
bonjour frédérique je vais faire le test sur les 10 Semaines a venir et voir si je suis bien dans ce cas là….pour moi j’aurai le plaisir de vous retrouvez à brides en juin, DU ! juin au 26 JUIN, pourriez vous m’indiquer vos dates de stages sur les trois semaines ou je serai à brides et je voudrais m’inscrire d’avance au syndicat d’initiative ou vers vous, redonnez moi vos dates merci d’avance, pour votre aide , je change… merci bien cordialement Martine
Bonjour Martine,
Merci pour votre commentaire ! Je serai heureuse de vous retrouver à Brides avec un nouvel atelier intitulé « Mincir avec plaisir », qui se tient tous les mercredis de 16h00 à 17h30, soit vous concernant les 10, 17 et 24 juin, au tarif de 15 euros. Je ne peux malheureusement pas vous inscrire, il faut obligatoirement s’adresser à l’Office du Tourisme. Je maintiens également l’atelier « estime de soi », mais vous l’avez déjà suivi et vous êtes déjà sur la voie du changement ! )
Bien à vous,
Frédérique
PS : m’autorisez vous à diffuser votre commentaire en supprimant vos coordonnées si je peux ?