N° 2 : Le principe de relativité
Entre chaque excès, se trouve une gamme de nuances. Du blanc au noir, il existe le blanc cassé, le gris perle, le gris foncé, l’anthracite, etc… chacun étant plus ou moins blanc ou noir que l’autre. Il existera toujours un « plus » que moi, tout comme un « moins » que moi.
Lorsque je mets en pratique ce principe, je peux nuancer, modérer, ce que je vis, remettre un peu de lumière là où je ne vois que l’obscurité.
A l’inverse, en l’oubliant, j’exacerbe mes émotions : les imprévus deviennent des catastrophes, les expériences deviennent des échecs, etc…
Pour peu que j’ai adopté une seule façon de nuancer, ma vie devient vite un « pas assez » permanent : pas assez riche, pas assez beau, pas assez heureux, pas assez épanoui.
En somme, l’histoire de notre société occidentale sans le développement personnel !
Car le développement personnel vise entre autre à relativiser pour permettre à l’individu de définir ce qui est assez pour lui, et non sous le diktat des autres. Cette démarche vise à honorer le 3ème principe, celui de l’homéostasie, que nous verrons demain !