Tim Gallwey, tennisman et entraineur, avait remarqué qu'il obtenait de meilleurs résultats en demandant à son poulain de quelle manière il aurait pu mieux faire
qu'en lui disant ce qu'il aurait dû faire.
Sa méthode ayant fait ses preuves, elle s'est étendue progressivement à tous les sports, au
monde de l'entreprise et enfin au particulier. Initialement, cette
méthode était mise au service de la recherche de la performance. Aujourd'hui, elle ne s'y limite plus : le
coaching est un outil de résolution de problèmes, de
changement et d'atteinte d'objectifs, y compris celui de la
performance.
Cette nouvelle discipline est très éloignée de ce que l'on nous montre à la télévision et que l'on qualifie à tort de "coaching".
Contrairement aux émissions télévisées, le "vrai" coach ne dit pas à son client "quoi" et "comment" faire : il l'invite
à se poser lui-même les bonnes questions et l'aide à y répondre de façon pertinente.
Et parce que le conseil est souvent contre-productif, le " vrai " coach se garde bien d'en prodiguer à son client, sauf si ce dernier en fait expressément la demande.
Parce que je ne suis pas thérapeute, parce que le coach apporte de l'aide à son client mais n'est pas dans une démarche de soin, je me laisse le droit de refuser un coaching si je pense qu'une thérapie est plus indiquée.
Je m'engage également à ne pas influencer mon client.
Si mon client me demande un conseil ou un avis, je m'engage également à lui répondre avec intégrité, en plaçant au centre de ma réflexion le seul intérêt de mon client.