Réflexe versus réflexion

pilote - Réflexe versus réflexionLe réflexe primera toujours sur la réflexion.

Car, et bien que le cerveau soit un outil formidable, il possèdent une faille : une seule pensée à la fois !!!!

Impossible pour nous d’avoir simultanément plusieurs idées ou pensées. Cela se joue à quelques micro secondes mais ce sera toujours une pensée, et puis une autre, et encore une autre. Lorsque nous avons le temps, nous les observons, les comparons et enfin en retenons une, celle du choix. Jusque-là, tout va bien !

Cela se complique en revanche si nous manquons de temps, si nous devons répondre ou réagir immédiatement et dans l’urgence.

Par exemple, je suis sollicité(e) pour faire quelque chose que je n’ai pas du tout envie de faire : par exemple, la bonne copine qui nous demande « tu peux me garder mes gosses ce soir ? ») et je ne sais pas dire non.

Dans ce cas, la seule pensée qui va venir est celle de mon habitude, celle que je maitrise le mieux, celle des réflexes et non de la réflexion, et je vais donc dire OUI ! En le regrettant quasiment aussitôt, car j’avais bien envie de me détendre aussi…

Cette réponse est donc associée à un comportement que je souhaite modifier, mais dans ce cas, il est trop tard ! J’ai laissé passer l’occasion de modifier ma réponse et mon comportement car j’étais en mode réflexe, inconscient.

Alors, comment faire pour y parvenir ?

En adoptant les techniques des pilotes d’avion !

Les pilotes n’attendent pas d’être dans la situation difficile pour réagir. Ils répètent, répètent, répètent, encore et toujours des procédures pour avoir le bon geste, le bon réflexe au moment venu.

Dans la mesure où nous avons une seconde pour prendre la bonne ou la mauvaise décision, il est urgent d’apprendre par cœur la bonne réponse !

Or, la seule bonne réponse à une situation est celle qui fonctionne et qui nous rend heureux !

Autrement dit, en pratiquant la logo synthèse, et en me répétant « je sais dire non ». Ainsi, lorsque la copine me demandera à nouveau si je peux garder ses enfants, je pourrai lui répondre gentiment « non, pas ce soir, désolé(e) »…

La chance est une pimbêche

En coaching professionnel ou personnel, le sujet de la chance ou de la malchance revient souvent dans la discussion.

Certains pensent qu’ils doivent leur promotion à la chance (le déménagement inattendu du prédécesseur), d’autres accusent la malchance d’être responsable de leur retard éliminatoire au concours de leur rêve.

Alors qu’en est-il ? Où commence et où s’trèfle à 4 feuilles 300x225 - La chance est une pimbêchearrête la chance ? Où commence et où s’arrête la malchance ?

Notre langue française est riche mais sur ces notions nous utilisons souvent les mêmes mots pour des situations bien différentes. Je vous propose, pour commencer de faire un brin de ménage !

En réalité, la chance ou la malchance intervient lorsqu’il n’y a aucune action de posée de notre part. Dans ce cas, le mot reprend tout son sens étymologique (de cadere en latin = choir), c’est-à-dire que cela nous « tombe dessus » sans intervention, ni intention de notre part.

Par exemple,

  • Vous dormez, une météorite s’abat sur votre maison = malchance !
  • Un inconnu frappe à votre porte et vous offre toute sa fortune = chance !

Ce qui n’a rien de commun avec les situations suivantes, pour lesquelles, il y a intervention, voire intention :

  • Vous avez une promotion suite au départ inopiné de votre supérieur = opportunité !
  • Vous êtes refoulé au concours de votre vie car votre train a été retardé = leçon de vie !

Le degré de passivité ou d’action est déterminant pour savoir dans quel registre je me situe.

Plus je suis dans l’action, plus j’étends ma zone d’influence, moins je suis dans celui de la chance ou de la malchance.

Pour être certain de réussir le concours de mes rêves, je mets toutes les chances de mon côté, c’est-à-dire que je prends toutes les dispositions nécessaires pour être à l’heure. Si je ne l’ai pas fait, je suis responsable, pour la part qui m’incombe, de ce qui arrive. Dans ce cas, rien d’autre à faire que d’en tirer une leçon utile pour mon avenir (voir la sagesse au quotidien).

En bonne PNListe visuelle, vous avez dû remarquer que j’aimais bien les tableaux. Aussi pour vous aider à y voir plus clair, je vous propose celui-ci : Chance ou malchance

Mais, et heureusement, la vie ne ressemble pas à un tableau. Rien n’est aussi cloisonné, en réalité les cellules sont poreuses, on peut passer d’une catégorie à l’autre d’un simple regard.

Oui, un simple regard, permet de transformer la malchance en chance ou en opportunité.

Car la vie est une pimbêche ! si vous voulez qu’elle vous sourie enfin, c’est à vous de faire le premier pas, de commencer par lui sourire.

C’est ce que Philippe Gabilliet, psychologue et spécialiste de la chance nomme le « recyclage des malchances ».

Cela consiste à accepter ce qui est arrivé, en tirer une leçon, voire à se dire comme dans le conte Chance ou malchance qu’il s’agit peut-être d’un mal pour bien.

Ce comportement face à l’existence en général, et la chance en particulier, appartient aux 4 attitudes inventoriées par Philippe Gabilliet. Des attitudes susceptibles d’attirer les opportunités et de faire durer la chance. Je vous livre ici les  3 autres attitudes bénéfiques :

  • Se rendre disponible : c’est-à-dire être ouvert vers l’extérieur, à l’affût des opportunités.
  • Clarifier son intention : savoir ce que je veux, j’espère de la vie.
  • Devenir un « porte chance » : c’est-à-dire un passeur de relais qui a la certitude que le relais lui reviendra tôt ou tard.

En résumé, s’il ne suffit pas de jouer pour gagner au loto, en revanche, et comme le proclame la Française des Jeux, tous les gagnants ont tenté leur chance…;-)

 

L’éducation, un handicap en communication ?

fille muette 200x300 - L’éducation, un handicap en communication ?La trop bonne éducation est comparable à une entrave, elle nous empêche parfois, souvent, de nous exprimer comme il serait souhaitable.

Que ce soit en formation ou en coaching, je fais le même constat.

Les personnes bien éduquées ont des difficultés à s’opposer, à dire non, à se défendre.

Elles sont obéissantes, voire soumises, car on leur a enseigné le respect des aînés.

On leur a appris à dire oui plutôt que non, et bonjour, et merci, toujours.

Ce modèle fonctionne extrêmement bien lorsque les personnes bien éduquées restent entre elles, là où les codes sont partagés. Et cet article n’a pas vocation à le remettre en cause, loin s’en faut !! Quel bonheur de vivre dans un monde où chacun s’adresse poliment et avec bienveillance à l’autre !

Toutefois, force est de constater qu’aujourd’hui, au quotidien, y compris en entreprise, il devient trop souvent, et malheureusement, inadapté. Il est toujours bon d’essayer une fois, deux fois d’inviter notre interlocuteur à adopter les nuances et cette politesse qui permet aux individus d’échanger en toute sérénité.

Mais lorsqu’il refuse ce type de communication, il est vital de savoir en changer rapidement, au risque d’avoir le sentiment de parler une langue étrangère !

Or, si je veux me faire comprendre de l’autre, mon devoir consiste à adopter son langage, son code, sinon l’incompréhension perdurera.

En PNL, nous avons coutume de dire que la qualité du message est liée à la réponse obtenue. Tony Robbins a écrit très justement « Le sens de ce que l’on communique est contenu dans la réaction que l’on obtient »

Face à un individu qui raisonne de façon binaire « oui, non, tu peux ou tu ne peux pas », il est parfaitement inutile d’essayer de l’emmener sur le chemin de la nuance, car ce cadre de référence lui est parfaitement étranger.

S’il vous demande si « vous pouvez lui rendre ce dossier pour la fin de la semaine, oui ou non ?», il est vain de lui répondre en terme de probabilité, de condition, de peut-être… Dans ce cas, vous aurez en face de vous un disque rayé qui vous rétorquera inlassablement « OUI ou NON ? »

Répondez-lui ce qu’il attend ! OUI (facile !) ou NON, plus difficile ;-), « je peux » ou « je ne peux pas », et rien d’autres !

Frustrant et pénible, je sais. La seule chose bénéfique que vous puissiez faire pour cette personne, et votre relation, est de lui conseiller une formation en communication ! Rendez-vous sur www.formationsavoie.fr !

« J’ai décidé d’être heureux… »

gâteau anniv 300x198 - "J'ai décidé d'être heureux..."Il n’y a pas d’âge pour être heureux, pas plus que malheureux malheureusement ! C’est pourquoi j’ai fêté mon anniversaire, que certains d’entre vous ont eu la gentillesse de me souhaiter. Merci !

Cette journée a été l’occasion d’un débat amusant entre ceux, qui comme moi « fêtent » encore leur anniversaire, et ceux qui ont renoncé à le faire.

Ce débat, en dehors de me faire sourire, m’inspire les réflexions suivantes :

  • La première, est qu’atteindre l’âge canonique de 49 ans, même si c’est moins glamour que 30 ans, doit rester une fête.

Pourquoi ?

Parce que c’est une chance de les atteindre !

La durée de vie moyenne a triplé en 2 siècles et demi, passant de 25 ans en 1740 à plus de 80 ans aujourd’hui (source http://www.ined.fr/).

Ce que certains ont tendance à considérer comme un dû, ne l’est malheureusement pas pour tout le monde.

Tous n’ont pas la chance de vieillir. Ne serait-ce que pour eux, il me semble important de célébrer chaque nouvelle année, cette victoire sur le temps.

  • Ma seconde réflexion est la suivante :

    Si je continue de fêter mes anniversaires c’est parce que c’est bon pour le moral !

Sonja Lyubomirski  a démontré dans son ouvrage « Comment être heureux et le rester, augmentez votre bonheur de 40% », que fêter et célébrer participent à l’augmentation de notre capital bonheur. Ces actions contribuent aux 12 stratégies qu’elle a identifiées  pour cultiver son bonheur comme un jardin.

Des stratégies dont s’inspirent d’ailleurs de plus en plus les entreprises elles mêmes.

Certaines ont enfin compris que fêter les victoires, célébrer les anniversaires, créaient du lien entre les salariés, un sentiment d’appartenance et de joie profitable à tous.

  • La troisième réflexion découle de la précédente : Pourquoi vouloir être heureux ?

Voltaire a répondu à cette question il y a fort longtemps. Il a eu une intuition de génie lorsqu’il a écrit « j’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé ».

Il a d’ailleurs fait la démonstration de son intuition puisqu’il est décédé à 83 ans, quand l’espérance de vie au 18ème siècle n’excédait pas 25 ans !

En résumé, ces différentes réflexions tendent à démontrer que fêter et célébrer des occasions particulières, instaurent un cercle vertueux :

Je suis heureux de… donc je le fête.

En le fêtant je me crée de bons souvenirs qui augmentent mon capital bonheur.

Donc je me sens encore mieux,

Puisque je suis heureux de… je le fête,

En le fêtant…

Enfin, j’invite les coquets et coquettes à s’inspirer d’une actrice italienne.

Elle enjoignait sa maquilleuse de ne pas toucher à ses rides arguant qu’elle avait mis tant d’années à les obtenir…)

Halte à la contagion !

 grog 53361 640 300x212 - Halte à la contagion !La peur de la contagion…

Aujourd’hui, j’ai invité une amie à déjeuner à la maison. Ce matin, elle était prête à se décommander en raison d’un début de rhume, craignant de me contaminer.

N’écoutant que mon courage 😉 et mon envie de la voir, je l’en ai dissuadée.

Sa prévenance envers moi m’a inspiré les questions et réflexions suivantes.

  1. Faisons-nous preuve de la même attention lorsqu’il s’agit d’un mal être moral ?

Oui, souvent. Ce qui explique que lorsqu’une personne a le moral en berne, qu’elle est envahie d’émotions négatives et se sent pour le coup « contagieuse », elle s’isole.

  1. Avons-nous raison de nous isoler ?

Oui et non.

Oui, s’il s’agit d’un léger blues que l’on sait pouvoir régler seul(e) en une journée. Il est même salutaire en pareil cas, de se débrouiller seul(e), d’accepter d’aller moins bien, de faire le tri avec soi.

Ou, si la personne à qui l’on souhaite se confier est encore moins en forme que nous . Car dans ce cas, et en dépit de sa bonne volonté, elle ne pourra pas nous écouter « utilement ».

Non, s’il s’agit de quelque chose qui pourrait devenir sérieux : un mal être qui s’est installé, un problème qui accapare notre corps et notre esprit.

Car le risque de l’isolement, est que nous ne laissons pas la chance aux autres de nous aider, nous ne leur offrons pas la possibilité de choisir, comme l’a fait mon amie à midi.

  1. Et si nous osons demander de l’aide, qu’attendons-nous vraiment ?

Ni jugements, ni conseils, ni modèle !

Car contrairement à ce que j’ai dit plus haut, l’isolement n’est pas dû à la peur de contaminer les autres mais davantage à la crainte d’être :

  • Jugé(e): « tu as tout pour aller bien, qu’est ce qui se passe ? tu ne t’écoutes pas un peu trop ? »
  • Assommé(e) de bons conseils: « et pourquoi tu ne… ? tu devrais plutôt… »
  • Agressé(e), humilié(e) par la forme olympique et insolente de notre interlocuteur : « moi ? Toujours au top, le travail nickel, la famille, formidable, financièrement, je ne sais plus comment le dépenser. Et toi ? Ça n’a pas l’air d’être la joie ! ».

Non, ce que nous attendons tous en réalité est avant tout d’être écouté(e) et entendu(e), avec bienveillance et empathie.

L’empathie (« souffrir aux côtés de ») de Carl Rogers est sans doute le meilleur rempart à la contagion, car elle évite de souffrir avec (étymologie de la sympathie) ou de souffrir contre (l’antipathie ressentie face au modèle insolent !).

En clair, l’écoute empathique et bienveillante d’un(e) ami(e), d’un(e) coach, est à la déprime, ce que le grog est au rhum, un puissant antidote !

Avis et témoignages sur le coaching

livre dor 300x199 - Avis et témoignages sur le coachingPour ceux qui sont encore réfractaires et méfiants envers le coaching,

je vous livre ici les avis et témoignages des clients qui ont eu la gentillesse d’accepter la diffusion de leurs commentaires.

« Une belle personne de confiance

qui a le professionnalisme et les qualités humaines pour réussir à atteindre notre objectif. A travers des exercices réalistes et en sujet avec l’objectif en question, les progrès se montrent très rapidement. Pour nommer le coaching en deux mots : EFFICACE et VRAI »

Mr NPC, 73

« Le coaching permet de remettre en question certaines croyances, mais aussi de conforter certaines manières de travailler, ce qui est rassurant.

Tout le monde devrait, au cours de sa carrière ou même de sa vie personnelle bénéficier d’un coaching pour améliorer ses relations aux autres et aller dans le bon sens, celui qui fait grandir les deux parties et les tire vers le haut ! »

Mme A.R, 73

« J’ignorais ce qu’était réellement le coaching et suis agréablement surprise par celle nouvelle expérience…

Tu m’as aidé à poser un autre regard sur mes blocages, et surtout, tu m’ as apporté des outils concrets à mettre en place rapidement, en guise de solution.. J’ai en quelques séances perçu des changements qui me permettent d’être plus en paix avec moi même et les autres… Ta simplicité, ton écoute, ton professionnalisme et ton énergie positive, a fait de ce coaching une expérience précieuse et passionnante, et me montre que l’on peut avancer plus sereinement, en supprimant nos fausses croyances et en trouvant des solutions concrètes aux aléas de la vie… Merci Infiniment Fred! »

Mme F.C, 73

« Frédérique met en place un accompagnement de grande qualité, structuré et pertinent.

Les séances sont très enrichissantes et permettent de faire des avancées conséquentes sur soi et ses projets. J’ai travaillé en toute confiance et en profondeur des sujets qui me paraissait difficiles. J’ai découvert au cours du coaching ce que je devais travailler pour gagner en efficacité. Tout en douceur et en bienveillance, Frédérique a réussi à m’accompagner sur le chemin du lâcher prise, de l’acceptation de soi et des autres et de la communication bienveillante. Je sais maintenant que je possède en moi les ressources nécessaires. Je recommande vivement les séances de coaching avec Frédérique.  »

Mme D.S, 73

« Cela m’a permis de recentrer mes idées, et de déterminer un objectif, et de mieux comprendre ma valeur »

Mr F.M, 73

« Ce coaching m’a aidée à mieux communiquer tant dans ma vie personnelle que professionnelle et à mieux m’affirmer. »

Mme V.A, 74

« Gérante de société, autodidacte, le coaching m’a fait prendre conscience de mon parcours professionnel. »

Il m’a permis de faire un point sur mes points faibles et mes points forts. Au fur et à mesure des échanges, il m’a permis de construire une communication en adéquation avec le milieu professionnel dans lequel j’évolue mais aussi d’adapter mon discours à mes équipes. Le soutien de mon coach a été perspicace et sans faille. Je recommande vivement de prendre le temps du regard sur soi, de se former et ainsi évoluer plus rapidement.

Mme F.E, 73

« Ce coaching m’a aidé à reprendre confiance en moi et prendre les rênes de ma vie. »

Mr C.S, 73

 » Des petites choses qui me font voir la vie avec un autre regard

en pensant plus à moi et en apprenant jour après jour à lâcher prise »

Mme CC, 73

 » Le coaching de Frédérique m’a permis de voir les choses « sous un autre angle » « 

et va me permettre d’avancer dans « ma » bonne direction. Merci, je recommande vivement !

Mr JPR, 73

« Cette expérience m’a permis de me recentrer sur l’essentiel

De prendre conscience qu’il est important de connaitre ses valeurs et de les respecter. Cela parait évident mais avec le poids du quotidien on a tendance à l’oublier. Grâce à ton regard neutre (je n’ai pas trouvé mieux comme terme) et bienveillant j’ai pris confiance en moi pour me projeter dans l’avenir avec sérénité, confiance et envie. »

Mr A.C,73

« Je ne savais pas en quoi les séances allaient m’aider »

je ne visualisais pas une situation possible. Et sans vraiment réaliser, j’ai changé ma vison des choses au quotidien, je suis devenue plus positive et confiante.

Melle J.P, 74

« C’est une première pour moi puisque je n’avais jamais eu recours au coaching »

J’ai été un peu déstabilisée par la familiarité qui est instaurée dès le début, en comparaison des accompagnements plus psychanalytiques. J’ai vraiment apprécié cet accompagnement : entre le temps de discussion et le temps des exercices pratiques qui constituent une base méthodologique à laquelle on peut se référer plus tard.

Mme C.P, 73

 » Le coaching m’a permis de me libérer de mes blocages au quotidien « 

et de réussir à m’accepter telle que je suis sans complexe. Surtout de pouvoir dire ce que je pense et de pouvoir me libérer des dépendances affectives. De vivre ma vie pleinement sans me créer de contraintes. Un grand merci à ma coach Frédérique Lemoine

Mme A.A, 73

« Bonne expérience. »

On se sent écouté, et cela m’a permis de me « voir » sous un autre angle. Ce qui va me permettre de continuer plus sereinement sur le chemin de mon évolution personnelle !

Mr N.A, 73

« Je suis arrivée en coaching durant une remise en question totale sur ma vie, éteinte, comme anesthésiée. »

Ce coaching m’a permis tout d’abord de parler, mettre des mots sur les maux, être écoutée, avoir un retour objectif sur la situation. Tu as été le tuteur qui m’as aider à trouver les bonnes réponses, prendre les bonnes décisions, arrêter d’avoir peur et apprendre à avoir un regard juste et constructif sur moi et ma vie. Merci de m’avoir aidé à m’extirper de cette situation insatisfaisante pour construire et croquer à pleine dent cette nouvelle vie.

Melle M.A, 73

« Frédérique a su mettre l’accent sur les questions essentielles dès notre premier entretien. »

Elle nous pousse à la réflexion afin que nous puissions répondre nous même à notre problématique tout en nous guidant avec un regard objectif et professionnel. Je recommande vivement ce type de coaching et surtout la super coach !

Mme C.N, 73

« Le hasard d’un tirage au sort m’a fait gagner un coaching de 3 séances avec Frédérique, »

Moi qui suis également coach, joli clin d’œil. Frédérique a tout de suite été a l’essentiel avec moi, travaillant sur mes axes d’améliorations, ce qui me restait à travailler en priorité. J’ai reconnu en Frédérique une coach très à l’écoute, à la fois dans la bienveillance et dans le parler vrai, toute l’attitude qu’un coaché attend d’un accompagnateur compétent. Merci à Frédérique pour cette belle complicité professionnelle.

Mr R.V, 74

 « J’ai déjà recommandé le coaching à deux personnes de mon entourage. »

Le coaching permet d’avoir un œil extérieur et une prise de recul efficace quand confrontée a un blocage et aucune solution en vue de notre point de vue. Les outils proposés sont adaptés et les séances d’échange sont un appel au travail personnel et a un approfondissement personnel grâce aux pistes, lectures et outils données. Aucun regret sur cet investissement financier, pour avoir les clés en main pour affronter le monde du travail, la communication et approfondir les expériences vécues. Merci !

Melle S.DL, 73

 » Ma vie ressemblait à un rubicube sans aucunes faces de la même couleur alors j’ai décidé de me faire coacher ! « 

Frédérique m’a guidée pour me recentrer sur moi-même, me poser les bonnes questions et surtout trouver les bonnes réponses ! Son énergie positive, son professionnalisme et son enthousiasme sont autant d’éléments qui m’ont aidée à avancer dans ce processus. J’ai toujours su qu’il n’y a pas de hasard dans la vie et ma rencontre avec Frédérique l’a prouvée…. Mon rubicube n’est pas encore finalisé mais grâce à elle, j’ai le mode d’emploi !

Mme M.M, 73

« Vos petits trucs m’aident. »

Je pense souvent à vous. Je crois que je me pose maintenant quelques questions, surtout sur l’utilité, le besoin réel, l’impact réel des décisions que je peux prendre, pour in fine « être heureuse » des décisions sans aucun regret. Je m’écoute, un peu plus du moins j’écoute autre chose que mon cœur, mon instinct. Je trouve un équilibre.

Merci, 1000 fois Frédérique, pour votre gentillesse, votre professionnalisme.

Je garde votre contact précieusement.

Mme S.K, 73 (suite à plusieurs conférences)

 » Frédérique est une coach très positive et motivante « 

Durant le coaching, beaucoup d’outils (adressés par mail) m’ont été donné. A partir de là, je me suis sentie guidée, orientée pour atteindre mon objectif, tout en n’ignorant pas que ces outils sont à ma portée bien évidemment mais qu’il faut vraiment les utiliser au fil du temps afin de ne pas perdre la trajectoire de mon objectif final.

A ce jour, je continue à utiliser les outils donnés par Frédérique afin de poursuivre mon objectif.

J’ai également compris des choses sur moi dont je n’avais pas prêté attention.

Merci Frédérique pour ta gentillesse, ton dynamisme, ta contribution à m’aider à évoluer constamment.

Melle MA.C, 69

 » J’ai adoré le coaching ! « 

Frédérique m’a aidée à me rendre compte de mes capacités et de mes compétences. Tout les exercices que l’on a fait ensemble, ont été bénéfiques et ont portés leurs fruits. J’ai atteint mon objectif et j’ai tout simplement réalisé que j’avais repris confiance en moi. »

Melle J.G, 38

 » Cette expérience m’a à nouveau conforté sur le bienfondé du coaching. « 

L’approche pragmatique de cette démarche m’a permis de lister les valeurs fondamentales de ma personnalité et grâce à l’aide de Frédérique, j’ai pu ainsi identifier les critères indispensables à mon futur projet de vie. Merci à toi, Fred!  »

Mr D.B, 73

« J’ai été impressionnée par ta pratique du coaching »

Ton empathie permet de répondre aux moindres questionnements. Tu as un panel énorme de documents bien pensés qui aident à la réflexion et à notre réalisation.

Mme B.D, 75

« Coaching très professionnel »

Beaucoup d’empathie. Frédérique sait aller chercher les choses profondément et poser le bon diagnostic.

Vraiment d’une grande efficacité je recommande vivement !

Mr T.F, 73

« J’étais en souffrance par manque de confiance en moi. »

Frédérique avec ténacité m’a fait prendre conscience de Ma valeur et je ne me considère plus comme une personne incapable mais bien au contraire. Après lui avoir livré l’histoire de ma vie, j’ai pris conscience que compte tenu de mon histoire j’étais au final une personne riche , courageuse et aimante.

Mme I.N, 69

Bonheur : mon outil de mesure !

rentrée - Bonheur : mon outil de mesure !Le bonheur est une quête constante, quelle que soit les étapes de la vie, petites ou grandes.

Et même si nous avons quitté l’école, même si nous n’avons plus d’enfants à charge, la rentrée reste une date importante.

Comme un anniversaire ou la nouvelle année, elle est synonyme d’interrogation, de remise en question.

Ai-je envie de vivre une année similaire à la précédente ?

Ou bien ai-je envie au contraire de changements ?

Si oui, lesquels ?

À quel niveau ?

Pour vous aider à faire ce point et y voir plus clair sur votre degré de satisfaction, j’ai réalisé un petit outil que j’ai appelé le MPB.

En l’honneur de l’amie qui m’a soufflé l’idée? Et aussi parce qu’il s’agit de l’acronyme de « Mesure Personnelle du Bonheur ».

Vous le trouverez en cliquant ici MPB.

Bienvenue dans le monde du changement, du développement personnel et du coaching et bonne utilisation !

« Passe ta commande »

restaurant 18311 640 300x201 - « Passe ta commande »Passe ta commande est sans doute une de mes phrases préférées en coaching.

Elle étonne et surprend souvent, elle fait sourire parfois.

Lorsque je la prononce, mes clients me regardent mi- amusés, mi- inquiets en se demandant ce que je veux leur dire par là, et surtout si je ne suis pas un peu folle !

Puis je leur explique.

Et ils font.

Et puis ça marche !

Passe ta commande signifie simplement que la vie est un immense restaurant.

Il existe deux types de clientèle dans un restaurant.

Celle qui dit au serveur « Amenez moi ce que vous pouvez », ou aux autres convives « Je prends comme vous, je vous fais confiance ».

Avec un peu de chance la personne se régalera, ou à l’inverse regrettera amèrement d’avoir laissé le choix aux autres. Car elle court le risque que le serveur serve ce qui arrange le restaurant : le plat le moins demandé, le dessert de la veille, etc…

Au final, elle se « contentera » de ce qu’on lui présente, plutôt que de consommer ce qu’elle veut vraiment.

Le deuxième type de clientèle dit au serveur : « Je vais prendre un confit de canard en direct et une mousse au chocolat en dessert ». La commande est simple, claire, efficace.

Dans ces conditions, il est rare qu’un serveur apporte autre chose que ce qui a été commandé, et c’est tout le miracle de la commande !

Plus je sais ce que je veux, plus j’ai de chance de l’obtenir ou à défaut de m’en rapprocher en négociant : « Vous n’avez plus de mousse au chocolat ? il vous reste du tiramisu ? Très bien, donnez-moi le tiramisu alors. »

Enfin, la réussite de l’expérience repose sur deux injonctions fondamentales : se donner les moyens de faire, et le faire.

Si je conserve l’image du restaurant, cela signifie :

  1. Avoir les moyens de s’offrir le repas.
  2. Choisir le restaurant en fonction de ce que l’on souhaite consommer.
  3. Et se rendre au restaurant.

Pas très compliqué non ?

A vous de passer votre commande !

  1. Déterminez ce que vous attendez vraiment de la vie.
  2. Mesurez l’écart entre ce que vous avez et ce que vous voulez.
  3. Hiérarchisez des options qui vous permettent de vous en rapprocher.
  4. Mettez en œuvre.
  5. Réajustez si besoin.

Et surtout, surtout, ne renoncez pas !

À vous de jouer !

mikado 742769 1280 300x192 - À vous de jouer !Que l’on aime jouer ou non, la vie est un jeu, un jeu immense.

Pas n’importe lequel, un mikado !

Oui, nous sommes tous une de ces baguettes colorées. Comme dans le jeu, nous nous trouvons tantôt coincés au milieu des autres, tantôt totalement à l’écart du jeu !

Une situation professionnelle insatisfaisante, une vie familiale ou de couple frustrante, et nous voilà comparables à la petite baguette coincée dès le début de la partie.

Comme elle, nous avons la sensation d’être bloqué, de ne rien pouvoir faire, de ne pas trouver d’issue.

En réalité, ce sentiment est lié à l’incapacité à « prendre un risque », à modifier un petit quelque chose qui va modifier l’ensemble du jeu.

Nous nous sentons incapables de sortir de là sans causer de dégâts.

Cette peur du dégât nous paralyse et nous empêche de nous mettre en action, de bouger, simplement.

Exactement le contraire de ce qu’il convient de faire !

En effet, comme au mikado, il suffit que je bouge d’un demi-millimètre la baguette pour que tout le jeu s’en trouve modifié.

À cet instant précis, je le fais souvent en pleine connaissance de cause.

Je sais bien que l’ensemble va bouger mais que faire d’autre puisque je suis « complètement » coincé ?

Que ça bouge ! Voilà ce que je veux précisément !

Que cet équilibre qui ressemble à une prison soit enfin brisé.

Et miracle, ce léger déplacement bouleverse effectivement la configuration….

Tout comme un changement de comportement, d’attitude, de vocabulaire, changera totalement une relation, une situation qui semblait jusqu’alors inextricable.

D’autres, enfin, choisissent par peur de complications et de difficultés, ne pas jouer du tout. C’est la petite baguette qui dès le début de la partie a roulé loin du jeu, loin des autres.

Ce qui la motive à se tenir loin des autres ? Une autre peur. Celle de l’engagement.

Dans la vraie vie, notre petite baguette sera peut-être un une célibataire endurci(e), une personne sans emploi ou avec un emploi sans enjeu.

Et vous ? Quel type de baguette êtes-vous ?

Celle qui a refusé de jouer ?

Ou celle qui est toujours coincée ?

Celle qui a osé bouger ?

Vacances : 5 conseils pour les prolonger

vidage 2015 322 300x225 - Vacances : 5 conseils pour les prolongerÇa y est ! Pour beaucoup d’entre nous déjà, le temps béni des vacances est derrière nous.

Si le temps des vacances est celui du « non-travail », il est aussi et surtout celui de la rupture : d’avec nos habitudes, notre quotidien, notre environnement, notre entourage, etc… curieusement, en reprenant le chemin du travail, nous nous croyons obligés de reprendre le package « travail-routine ».

En réalité, rien ne nous y oblige !

Comment prolonger les bienfaits de vos vacances ? Comment en faire durer le bénéfice ?

Cinq idées pour y parvenir !

  1. Organiser une soirée sur le thème de vos vacances

    Invitez la famille ou des amis pour découvrir la cuisine locale, redécorez votre maison pour l’occasion, écoutez la musique qui a bercé vos journées, vos soirées. Utilisez tout ce que vous pouvez pour replonger un instant dans vos vacances.

  2. Visionner vos photos et vidéos

    Le temps d’un apéro ou pendant un après-midi pluvieux, installez-vous confortablement devant le film de vos vacances.

  3. Enrichir votre petit livre de meilleurs souvenirs 

    Ajoutez vos dernières photos de vacances et/ou anecdotes à cette compilation, à feuilleter de temps à autre le soir avant de s’endormir. Si vous n’avez pas encore réalisé ce petit cahier de souvenirs, que Sonja Lyubomirsky a baptisé « album de joies », je vous invite vivement à vous y mettre : sur un petit cahier, notez vos moments de bonheur, de plénitude, d’émotions intenses, collez des photos, des fleurs séchées qui vous rappellent un lieu, un instant précis de votre vie qui vous a particulièrement plu.

Pour profiter pleinement de ses bienfaits, je vous conseille de l’utiliser avec parcimonie sous peine de routine et de désintérêt. Feuilletez uniquement cet album en cas de spleen, dans les moments de doute, de lassitude, les périodes de « à quoi bon ? ».

  1. Supprimer les écrans 

    Les vôtres, ceux des enfants ! Évitez le 20h et son flot de mauvaises nouvelles, laissez de côté la technologie. Rappelez aux enfants qu’ils ont pu (j’espère !) s’en passer durant leur vacances, et vous aussi !

  2. Rompre avec les habitudes

    Modifiez une ou plusieurs de vos habitudes. Vous avez l’habitude de diner à 20h ? Reculez le dîner d’une demi-heure, voire une heure. Vous prenez toujours le même chemin pour vous rendre au travail ? Trouvez un itinéraire bis. Belle maman vient dîner tous les dimanches midi ? Excusez-vous de ne pas pouvoir la recevoir ce dimanche !

Non, le retour au quotidien n’est pas une fatalité ! J’espère que ces quelques conseils vous permettront d’en retarder le retour dans vos vies, afin de faire durer le plus longtemps possible le bénéfice de vos vacances.

De mon côté je vous laisse, j’ai quelques photos à regarder…